Le rôle d’un entraîneur : Réduire l’incertitude, pas garantir le succès

Image de Dorian Martinez
“Je me sentais pas bien. J’ai pleuré, j’avais envie de vomir. Je me sentais vraiment au bout de ma vie.”

Ça ? Ce sont les paroles de Stan Wawrinka, racontant son état mental quelques minutes avant d’entrer sur le court en 2016 pour disputer la finale de l’US Open.

👉 Dans cette situation, on s’attend à ce que Wawrinka se fasse expédier en 3 sets.

Pourtant, il remporte le match et le tournoi… Le tout en battant Novak Djokovic, rien que ça 🏆

Le témoignage de Wawrinka paraît dingue, mais il est loin d’être exceptionnel.

Même s’ils n’en parlent pas, énormément d’athlètes entrent sur le terrain malades, fatigués, blessés, angoissés, etc.

On pense que les champions sont toujours à 100% de leurs capacités, et que c’est ce qui leur permet de performer.

Mais c’est tout l’inverse ❌

Si vous attendez de vous sentir calme, reposé et confiant pour être performant…
Alors vous ne le serez pas très souvent au cours de votre carrière.

La clé, c’est d’arriver à donner le meilleur de soi, y compris lorsque les conditions idéales ne sont pas réunies.

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