Pourtant, c’est sans doute l’un des postes les plus stressants que l’on puisse imaginer :
❌ Quand tout va mal, vous êtes le premier désigné coupable et bien souvent le premier à se faire virer.
Les supporters vous tombent dessus et comme pour tous les métiers passion : lorsque ça se passe mal, votre estime personnelle en prend un sacré coup.
✅ Quand tout va bien, votre marge d’erreur réduit match après match et les attentes placées sur vous sont presque surréalistes.
Vous n’avez pas le temps de savourer une victoire parce que le match d’après arrive très vite.
Dans tous les cas, un entraîneur vit quotidiennement sous pression. C’est vrai pour Christophe Galtier comme pour l’entraîneur d’une équipe de basket de 2e division.
Et à terme, ça peut faire beaucoup de dégâts.
Surtout lorsque l’on sait à quel point ce métier est solitaire : vous êtes seul à la barre et vos rares collègues sont aussi vos adversaires.
Les sportifs ne sont pas des robots, mais les managers non plus.
Alors, quand est-ce que l’on s’intéresse à leur psychologie ? 🧠