Et elles peuvent conduire à des désastres comme :
🤕 Un athlète qui se conduit inconsciemment vers la blessure car “si je suis blessé, au moins je ne peux pas décevoir le coach par mon manque de performance. J’ai une bonne excuse.”
❌ Un athlète qui n’ose pas questionner les décisions du coach car “je ne veux pas qu’il me trouve casse-pieds, je dois lui faire confiance si je veux progresser.”
😶 Un athlète qui cache une faiblesse à l’entraîneur car “si je lui dis que je n’y arrive pas, il pensera que je ne suis pas à la hauteur.”
Dans une relation coach-athlète saine, l’entraîneur est un guide. Mais il ne doit en aucun cas devenir un gourou.
🤕 Un athlète qui se conduit inconsciemment vers la blessure car “si je suis blessé, au moins je ne peux pas décevoir le coach par mon manque de performance. J’ai une bonne excuse.”
❌ Un athlète qui n’ose pas questionner les décisions du coach car “je ne veux pas qu’il me trouve casse-pieds, je dois lui faire confiance si je veux progresser.”
😶 Un athlète qui cache une faiblesse à l’entraîneur car “si je lui dis que je n’y arrive pas, il pensera que je ne suis pas à la hauteur.”
Dans une relation coach-athlète saine, l’entraîneur est un guide. Mais il ne doit en aucun cas devenir un gourou.
Pour de nombreux athlètes, le regard de l’entraîneur est fondamental dans l’opinion qu’ils ont d’eux-mêmes.
Si le coach est fier, alors ils sont fiers.
Si le coach est déçu, alors ils sont déçus.
Bien souvent, ces situations se créent sans même que l’entraîneur s’en rende compte.