Exigence, rigueur et bienveillance : le trio gagnant des grands entraîneurs

Image de Dorian Martinez
Novak Djokovic ne paie pas son entraîneur pour qu’il lui fasse des câlins et lui serve du chocolat chaud ☕

On parle de plus en plus de management bienveillant ces temps-ci et c’est une très bonne chose.

Mais attention à ne pas tout confondre ❌

La bienveillance, c’est un moyen.
👉 Pas un objectif.

Ce que veulent les athlètes par-dessus tout ? C’est d’un entraîneur qui les aide à performer et à gagner.

Bien sûr, l’idéal est de le faire dans un climat bienveillant.
Et certains y arrivent même à très haut niveau, comme Carlo Ancelotti ou Mauricio Pochettino.

Mais dans le sport de haut niveau, un entraîneur sera toujours considéré selon ses résultats, plutôt que ses méthodes.

En fin de compte, ce n’est pas la douceur de l’approche qui compte le plus, mais la capacité à révéler le potentiel de chacun.

La bienveillance est un très bel atout, mais elle ne suffit pas à elle seule.
C’est en la combinant avec l’exigence et la rigueur que l’on forge de vrais champions. 💪

👉 Dans le sport de haut niveau, tout comme dans la vie professionnelle, ce sont ces trois piliers qui font la différence.

Un coach qui sait allier bienveillance, exigence et rigueur permet à ses athlètes de donner le meilleur d’eux-mêmes et d’atteindre des résultats durables.

C’est la marque des plus grands que ce soit dans le cadre professionnel ou amateur.

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