Est-ce que l’empathie et la bienveillance sont compatibles avec les exigences du très haut niveau ?
Je suis convaincu que oui parce que contrairement à l’idée reçue, être bienveillant ça ne veut PAS dire :
👉 Brosser dans le sens du poil 👉 Ne jamais exprimer de désaccord 👉 Laisser l’autre n’en faire qu’à sa tête.
Au très haut niveau, ce genre de comportement n’est pas bienveillant : il est destructeur pour l’athlète qui ne reçoit jamais le moindre feedback honnête et ne peut pas progresser.
Être bienveillant, c’est avant tout vouloir le meilleur pour la personne que l’on accompagne.
Et ça demande parfois de lui dire ce qu’elle n’a pas envie d’entendre.
Les entraîneurs de très haut niveau ne sont pas toujours tendres avec leurs athlètes.
Mais ils sont exigeants, non pas pour rabaisser, mais parce qu’ils sont là pour pousser leurs athlètes à atteindre leur potentiel maximum. 💪
Je suis convaincu que oui parce que contrairement à l’idée reçue, être bienveillant ça ne veut PAS dire :
👉 Brosser dans le sens du poil
👉 Ne jamais exprimer de désaccord
👉 Laisser l’autre n’en faire qu’à sa tête.
Au très haut niveau, ce genre de comportement n’est pas bienveillant : il est destructeur pour l’athlète qui ne reçoit jamais le moindre feedback honnête et ne peut pas progresser.
Être bienveillant, c’est avant tout vouloir le meilleur pour la personne que l’on accompagne.
Et ça demande parfois de lui dire ce qu’elle n’a pas envie d’entendre.
Les entraîneurs de très haut niveau ne sont pas toujours tendres avec leurs athlètes.
Mais ils sont exigeants, non pas pour rabaisser, mais parce qu’ils sont là pour pousser leurs athlètes à atteindre leur potentiel maximum. 💪